Les questions relatives aux dépenses de santé deviennent de plus en plus lourdes au niveau des finances de nos jours. Aller à l’hôpital ou tout simplement chez le dentiste représente des charges financières énormes. D’où la mise en place d’aide financière qui est destinée à réduire ces dépenses. Après la mutuelle standard et l’assurance maladie, la surcomplémentaire santé comme celle proposée par Avenir Mutuelle est une aide supplémentaire. Comment alors bien choisir ce genre de système de couverture ?

Demander un devis au niveau des organismes de santé

Pour avoir une idée précise de l’offre et de la somme à mettre sur la table, il est intéressant pour un futur mutualisé de faire des demandes de devis au niveau des organismes de santé ou des organismes financiers qui proposent ce genre d’offres. La plupart du temps, les devis sont gratuits et sont fournis assez rapidement par ces entités, c’est le cas concernant la surcomplémentaire santé. Le client pourra alors faire son choix au vu des prestations et des prix proposés. Il est même possible d’affiner les recherches en allant sur des forums d’abonnés ou d’anciens clients de ces organismes.

Choisir des surcomplémentaires en adéquation avec les besoins

Les surcomplémentaires sont intéressants lors des remboursements. Cependant, il faudra aussi considérer le fait qu’il existe les cotisations à payer chaque mois. Au cas où le futur client aurait déjà une mutuelle et une assurance santé, ce sera un surplus mensuel à prendre en compte. C’est pourquoi pour diminuer les cotisations, il faudra cibler les problèmes de santé les plus onéreux ou bien prendre des offres qui complètent les deux précédents au niveau de l’hospitalisation par exemple. Cette surcomplémentaire doit avoir un avantage réel pour la personne qui la souscrit, et ne doit pas être un poste budgétaire sans retour.

Faire attention aux conditions générales du contrat d’assurance

Avant la souscription, il faudra d’abord faire attention aux conditions générales du contrat d’assurance en lui-même. Elles ne sont pas pareilles pour tous les organismes financiers. Il faut demander à l’organisme s’il propose ce type d’assurance et demander à avoir ou à lire le contrat d’assurance. Etant donné que la surcomplémentaire n’est qu’une assurance de troisième niveau, il y a largement le temps de bien réfléchir sur les offres et de ne pas se précipiter sur une fausse bonne affaire. En plus, il est intéressant de noter que la loi Madelin ne prend pas en charge ce type de contrat d’assurance.

Journaliste : Sophie

Sophie abordera les thématiques liées à la maternité ainsi qu’à la vie de famille avec les bébés, les enfants, les ados, la vie de couple, et les séniors.

Sophie

Sophie abordera les thématiques liées à la maternité ainsi qu’à la vie de famille avec les bébés, les enfants, les ados, la vie de couple, et les séniors.

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