Ce ne sont pas seulement les adultes qui sont concernés par les allergies alimentaires, mais également les enfants, particulièrement ceux de bas âge. Leur nombre ne cesse d’augmenter chaque jour. Mais quel comportement adopter pour faire face à cette situation ?

Les aliments à l’origine des allergies alimentaires

Vous êtes en manque d’un site se consacrant à la famille ? N’attendez plus, rendez-vous sur le blog famille.xyz. Excepté pour les bébés nourris au biberon qui développe une intolérance au lactose, les allergies alimentaires des nourrissons apparaissent généralement à partir du quatrième mois. Pour cause, comme à cet âge le lait maternel ne suffit plus, les parents commencent alors à introduire petit à petit d’autres aliments.

Avant leur sixième mois, ce sont souvent le gluten présent dans les céréales et les protéines de lait de vache qui sont à l’origine de ces hypersensibilités alimentaires. Mais sont quelquefois montrés du doigt certains fruits exotiques comme le kiwi ou la banane. Sans oublier l’œuf et certaines légumineuses dont notamment le soja, le pois chiche et le haricot.

Quels sont les symptômes ?

Malheureusement, diagnostiquer une allergie alimentaire chez les enfants reste très difficile sauf pour les cas flagrants où l’on est en face d’éruptions cutanées de type urticaire ou eczéma, par exemple. Ainsi, en cas de doute et de suspicion, il faut sans plus attendre se rendre chez un immuno-allergologue.

En faisant passer des tests aux bébés concernés, seuls en effet ce spécialiste est à même d’identifier les allergènes réellement en cause de ces intolérances. Mais c’est ce dernier également qui pourra mettre en place les protocoles de prévention ou de traitement, en fonction de chaque cas. Toutefois, des symptômes comme la diarrhée, les coliques abdominales, des vomissements, ou encore des troubles respiratoires devront déjà donner l’alerte.

Mieux vaut prévenir que guérir

La meilleure des attitudes reste la prévention, particulièrement pour les enfants avec un terrain favorable, ou avec des parents souffrant aussi d’allergies chroniques. Et mêmes si les parents sont impatients et excités de faire découvrir de nouvelles saveurs à leurs petits bouts de chou, il est préférable de retarder tant que possible la consommation des aliments responsables.

Ou du moins les introduire un à un et laisser ainsi à l’organisme de l’enfant de les assimiler. Par ailleurs, certains aliments sont tout simplement à proscrire avant le sixième mois pour ne citer que l’œuf, les poissons d’eau de mer, le lait de vache ou encore l’huile d’arachide présente dans certaines denrées. Et c’est aussi le cas des fruits à coque et des additifs alimentaires

Journaliste : Michel

Michel, professeur de yoga à Paris, donne de précieux conseils sportifs, mais également nutritionnels.

Michel

Michel, professeur de yoga à Paris, donne de précieux conseils sportifs, mais également nutritionnels.

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