Une étude a récemment révélée les impacts de la consommation fréquente et habituelle de boissons sucrées sur la vie des jeunes, en particulier sur la santé. Cette révélation annonce qu’une attitude pareille, notamment pour les filles accélère plutôt que prévue les règles menstruelles et fait accroître petit à petit le menace d’un cancer du sein pendant l’âge adulte. Cependant, cette révélation a été réfutée de nombreuses fois par la plupart des chercheurs qui travaillent dans le domaine de la puberté précoce.

A priori, l’analyse a été appliquée aux Etats-Unis sur cinq milles jeunes filles d’un intervalle de neuf à quatorze ans et qui appartiennent à la génération des années 1996 et 2001. Pour la génération 1996, les chercheurs ont pu constater que les règles ne s’étaient pas présentées d’une manière précoce. Pendant ce temps là, toutes les filles étaient tenues de remplir une fiche des questionnaires afin de connaître les effets déclencheurs des règles menstruels en se basant sur les boissons sucrées qu’elles consomment fréquemment à l’exemple des jus de fruits, limonades, ice tea, limonades ou encore les différentes sortes de sodas. La suite de l’examen confirme que les participantes ayant bu des boissons sucrées en excédant la dose maximum d’un verre et demi pour une journée ont hâtivement eu ses premières règles presque trois mois avant les jeunes filles qui n’ont bu qu’un à deux verres hebdomadaires. Il paraît donc que l’excès du taux de glycémie dans les boissons fait remonter le taux d’insuline. De son côté, ce dernier renforce le processus de sécrétion des glandes sexuelles, ce qui par la suite explique la venue hâtive des règles. D’ailleurs, il semble aussi que dans l’étude les chercheurs ont déjà supprimé tous les autres effets déclencheurs tels les aliments, le sport ou encore le poids. Par ailleurs, pour d’autres spécialistes en la matière, il s’agit d’une affirmation gratuite qui nécessite plus d’approfondissement.  De plus, les informations ne sont pas nettement claires, c’est la raison pour laquelle ils n’ont pas hésité à contester la fiabilité du résultat. Il en est de même pour le cancer du sein qui, pour eux, restent encore à prouver en se fondant sur des raisons plus persuasives.

Journaliste : Michel

Michel, professeur de yoga à Paris, donne de précieux conseils sportifs, mais également nutritionnels.

Michel

Michel, professeur de yoga à Paris, donne de précieux conseils sportifs, mais également nutritionnels.

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