Dès 55 ans, le coût de la complémentaire santé tend à augmenter. Et, ce poste important dans le budget mensuel peut sérieusement grever le pouvoir d’achat dès le passage à la retraite où une perte de revenus est souvent à déplorer. Voilà pourquoi, il est important de comparer les complémentaires afin d’opter pour la meilleure mutuelle senior possible.
Être bien couvert pour mieux se soigner
Plus encore qu’à n’importe quel âge, il est absolument indispensable de bénéficier d’une excellente mutuelle senior lorsque l’on est retraité. En effet, bien que cette troisième vie rime de plus en plus avec temps libre, voyage, jardinage, lecture et autres loisirs, elle rime également avec frais de santé exponentiels. Car, pour rester en forme et profiter au maximum de sa retraite, se soigner est un enjeu prioritaire. Malheureusement, il est de plus en plus fréquent de constater que de nombreuses personnes âgées peinent à se soigner faute de couverture adaptée. Les garanties offertes par Evo senior, la mutuelle senior d’Avenir mutuelle, sont accessibles à tous.
Des cotisations et des frais en constante augmentation
En effet, depuis quatre ans, les retraités ont vu le coût de leurs cotisations pour leur mutuelle senior augmenter en moyenne de 18 %, soit un coût 3,5 fois plus cher que celui payé par les actifs ! Par ailleurs, à ces hausses, les retraités doivent également faire face à des mesures qui grèvent davantage leur pouvoir d’achat : gel des pensions en 2014 et 2015, augmentation des impôts sur le revenu et de la CSG…
Dans ce contexte, on comprend aisément l’importance de repenser le poste « mutuelle », dont le coût moyen mensuel est estimé, selon la plupart des professionnels, à environ 195,60 € par mois pour un couple de plus de 60 ans, avec des pics différentiels impressionnants : les seniors franciliens paieraient ainsi 60 % plus cher leur complémentaire que les seniors alsaciens ! Consultez l’actualité du monde de la santé avec Astuce-santé.fr.
Comment expliquer ces hausses de prix ?
L’arrivée en retraite des baby-boomers de l’après-guerre impacte l’offre et l’accès aux soins. En effet, il est estimé, selon l’Insee, que 20 % de la population française a plus de 60 ans et 5 % a plus de 80 ans. De fait, les dépenses de santé augmentent. C’est ce qui explique la pléthore d’offres existante sur le marché de la mutuelle senior et les augmentations de tarifs qui, parfois, ne sont pas forcément justifiées dans la mesure où une partie des pathologies affectant les personnes âgées sont prises en charge à 100 % par la Sécurité sociale.
Les moyens pour comparer et payer au plus juste
Mais, comment s’y retrouver ? Comment dénicher le contrat le plus adapté à ses besoins tout en respectant son budget ?
Les comparateurs en ligne
Avec l’explosion d’internet, de nombreux comparateurs en ligne ont vu le jour, notamment des comparateurs spécialisés en mutuelle senior. Après la saisie des données relatives au profil de la personne et le choix de ses niveaux de garanties, il est possible d’avoir un avis sur les meilleures complémentaires santé.
Les courtiers en assurance santé
Comme pour l’assurance prêt immobilier, le crédit immobilier, il existe des courtiers en assurance santé. Ce professionnel, rémunéré par l’assureur ou la mutuelle dès la signature du contrat mutuelle senior, éclaire les personnes sur les garanties proposées dans chaque contrat sélectionné.
Privilégier une mutuelle à un assureur mutualiste
C’est le meilleur moyen de payer au plus juste sa complémentaire santé. En effet, parce que la prévoyance, la solidarité et l’entraide sont au cœur des missions d’une mutuelle et parce qu’elle est une personne morale de droit privé à but non lucratif, il est plus intéressant de souscrire à une mutuelle senior, comme Avenir Mutuelle, plutôt qu’auprès d’un assureur mutualiste qui propose, quant à lui, des contrats de couverture santé senior souvent bien plus chers.
Pour conclure, si les prix augmentent, il est toujours possible de faire baisser le montant de ses cotisations mensuelles pour sa mutuelle, notamment en consultant un courtier en complémentaire santé, mais également en privilégiant directement les acteurs à but non lucratif comme les mutuelles.
