Les récentes avancées dans le domaine de la biomédecine interpellent l’humanité sur la nécessité d’adopter une chartre sur la bioéthique. L’Homme maîtrise maintenant la manipulation génétique, le clonage et la greffe d’organes. Ces procédés qui peuvent s’avérer utiles favorisent cependant certaines dérives scientifiques immorales.
Les problèmes de bioéthiques
Les découvertes scientifiques ont vraiment impacté la société contemporaine. Une amélioration de l’espérance de vie e été remarquée depuis les siècles de lumière. Si ce chiffre est aujourd’hui de 82 ans en France, il atteignait à peine les 30 ans au XVIIe siècle. Cette hausse s’explique par les nombreuses trouvailles dans le domaine de la médecine et il est clair que les scientifiques n’en resteront pas là. De nouveaux champs de recherche sont en effet envisageables.
De nos jours, des études sur les cellules souches donnent par exemple quelques indices sur la régénération cellulaire. Si celles-ci aboutissent, il serait possible de faire « repousser » un membre coupé. Cependant, la manière de se procurer des cellules souches est sujette à la controverse. Ces unités biologiques ne se trouvent que dans les tissus de fœtus ou d’embryon. Dans ce contexte, poursuivre ce type d’investigation semble immoral dans la mesure où des vies humaines sont « utilisées ».
L’éthique médicale : une nécessité
Outre l’étude sur les cellules souches, d’autres procédés déjà communément admis peuvent poser quelques problèmes d’éthique médicale. Les greffes d’organes favorisent par exemple certains trafics malsains dans des pays pauvres. Des personnes y sont assassinées et éviscérées de manière atroce. Dans ces conditions, des mesures doivent être prises pour endiguer ces phénomènes. Pour ce faire, les grands centres hospitaliers ne devraient pas « acheter » les organes provenant de ce type de trafics. En outre, une éthique médicale est de mise pour certains fournisseurs des hôpitaux. La chartre de l’Union européenne précise d’ailleurs la nécessité de la loi de bioéthique, mais des mesures concrètes n’ont pas été prises.
Journaliste : Sonia
Sonia parlera de tout le côté médecine, incluant les questionnements sur la sexualité.
